CETTE FIN

J’explose à l’intérieur
Le soleil m’a touchée
Attendre les heures
Jusqu’à l’immensité

Les oiseaux pleurent
Le monde se défait
Il regarde le bonheur
S’enfuir vers l’été

Et demande à son cœur
De se taire à jamais
Mais nulle part ailleurs
Il ne peut rêver

7 mars 2002